vendredi, mars 18, 2005

Propos bizarre...

Instant de lucidité ou période cinglée, peu importe. Je me suis rendue compte que depuis plus de 1 an, je m'amusais à écrire tout ce qui se passe ou qui me passe par la tête...les commentaires sont quasi inexistants...Il y a environ 12 personnes qui vont me lire par jours...10 d'entre eux viennent des moteurs de recherches louches comme KeVoila(avec des recherches toutes plus hurluberlues les unes que les autres). À ce stade, je me rends compte que je n'écris pas pour faire plaisir à quelqu'un autrement qu'à moi.l C'est dommage, j'aurais bien aimé plaire à plusieurs, mais ce n'est vraisemblablement pas le cas.

J'écris les événements qui surviennent dans ma vie, les sorties, les émotions mais rien de vraiment digne d'intérêt pour des gens normaux qui cherchent de l'information ou du divertissement. Je conviens que je ne saurais pas quoi écrire si je n'écrivais pas (les si n'aiment pas les raies)ce qui se passent dans ma vie. Je suis un peu incapables d'écrire des trucs avec du contenus historiques ou vraiment structurés comme ceux de mon namoureux. Il est donc essentiel que je m'en tienne à des sujets que j'aime. Je vais peut être tenté l'expérience de parler de musique en scannant certaines des musiques que nous allons jouer au concert du 9 avril prochain(celui de L'harmonie Laval la Relève) qui sera sous le sujet du tour du monde.

C'est déja bien, qu'en sortant de ma douche...je me mets à écrire des choses comme celles-ci. Je trouve dommage de ne point recevoir de commentaires ou de voir grâce à Sitemeter de nombreux lecteurs.

1 commentaire:

Reidid a dit...

Il faut d'abord constater que ce que tu fais, tu dois le faire pour toi en premier lieu... Il y a quelques personnes qui te lisent et je pense qu'elles aiment vraiment le faire !

Je ne sais pas pour toi, mais je trouve agréable le fait de pouvoir mettre par écrit une partie de mes réflexions et de les publier sur Internet. Il est de ce fait possible d'aller voir ce que nous faisions et disions il y a quelque temps.